L’Equipe Hope, groupe de jeunes bénévoles en Île-de-France, a été officiellement créée le 13 décembre. La soirée de lancement sorore et engagée a attiré une trentaine de jeunes féministes souhaitant s’investir dans la défense des droits des femmes et réaffirme la volonté d’Equipop de mobiliser, sensibiliser et faire porter la voix de la jeunesse.
Les VGO sont des formes spécifiques de violences sexistes et sexuelles qui existent partout mais qui ne font l’objet d’une reconnaissance que depuis très récemment. Zoom sur le programme «Notre corps, notre santé ; un projet de lutte contre les VGO au Sénégal » mis en œuvre par un consortium, composé de plusieurs associations sénégalaises en partenariat avec Equipop.
Dans cet article, Sandrine Ouédraogo, jeune auditrice de Burkinbiwili, revient sur son expérience dans le cadre du projet Burkinbiwili et sur sa participation à la CIPF. LIRE LA SUITE
Le 23 novembre 2022, l’événement “Femmes et conflits : vers une diplomatie féministe” organisé par le CESE (Conseil économique, social et environnemental), le Haut Conseil à l’Egalité (HCE) et ONU Femmes France a rassemblé plus de 2 000 personnes en présentiel et en ligne, preuve d’un intérêt croissant sur le sujet et d’attentes fortes envers le gouvernement. Equipop, en tant que membre du HCE, est intervenue pour réaffirmer l’intérêt des politiques étrangères féministes comme réponse à de nombreux défis mondiaux.
A l’occasion des 16 jours d’activisme, Equipop présente les Jeunes Leaders pour le Plaidoyer (JLP) et leur action : 30 jeunes nigériennes et nigériens, mobilisé·e·s pour que le règlement scolaire des écoles publiques, prévienne, protège et prenne en charge les violences sexistes et sexuelles.
TRIBUNE – Les chiffres d’ONUSIDA sont alarmants : toutes les deux minutes dans le monde, une adolescente ou une jeune femme supplémentaire a été infectée par le VIH/sida. Et en Afrique subsaharienne, en 2021, les jeunes femmes âgées de 15 à 24 ans sont trois fois plus susceptibles de contracter le VIH que les jeunes hommes du même âge. Experte en plaidoyer pour l’association féministe Equipop, Lucie Daniel s’interroge sur les effets de l’attentisme des instances internationales à mener une lutte féministe contre le VIH/sida.
Comme annoncé, des audits sociaux ont été réalisés au Sénégal et au Burkina Faso. Mis en œuvre depuis mars 2020, le projet Jeunes en Vigie a permis aux auditrices du projet de toucher du doigt les contraintes des jeunes et adolescent·e·s dans l’accès aux soins de santé de qualité et adaptés à leurs besoins. C’est aussi une occasion pour elles, lors des audits de sensibiliser les prestataires de santé sur les droits des jeunes en matière de Droits et Santé Sexuels et Reproductifs (DSSR) et aux 3 pandémies (VIH, Tuberculose et paludisme).
La démocratie sanitaire, selon moi, c’est l’implication de toutes les structures, toutes les composantes de la société, dans la gestion et dans la prise de décision et dans l’utilisation des services de santé. Ce qui veut dire qu’on implique tout le monde, aussi bien le communautaire, les jeunes, les leaders religieux, les acteur·trice·s de la société civile, tout ce monde là pour pouvoir aider à l’utilisation des services de santé.
En mai dernier, Mounia El Kotni était l’invitée du cycle Féminismes et Santé d’Equipop, une rencontre autour du manuel féministe “Notre corps, nous-mêmes”, qui s’appuie sur de nombreux témoignages, afin d’évoquer des sujets inhérents à la vie des femmes et à leur santé.
Après les confinements successifs entraînés par la crise du COVID-19, les mouvements féministes ouest africains ont eu plus que jamais besoin d’être de nouveau ensemble, de se rencontrer, de se retrouver.