En cette année de CIPD+30, Equipop a été invitée par UNFPA à prendre part à la réunion du Groupe d’Expert·e·s pour faire le point sur les accomplissements en matière d’agentivité reproductive, affiner collectivement les indicateurs de mesures et planifier l’avenir en matière de DSSR. Equipop a proposé un élargissement de la méthodologie à une approche féministe intersectionnelle qui permet de prendre en compte le cycle de vie complet des filles et des femmes et d’effectuer un suivi du phénomène de “backlash” afin de mieux y répondre.
Aujourd’hui, certaines survivantes cherchent à fuir les violences répétées de leur conjoint, des familles de ces derniers et quelquefois même de leur propre famille. Souvent accompagnées d’enfants en bas âge, elles souhaitent quitter ces violences en dépit de leur vulnérabilité, de leurs angoisses, du poids des traditions… afin de cesser d’endurer davantage de sévices, d’humiliations ou d’indifférence. Cependant, ces femmes ont-elles où se réfugier ? Où aller ? De quoi vivent-elles ? Y a t-il quelqu’un·e pour les accueillir, les conseiller ?LIRE LA SUITE
À l’approche des élections européennes, Equipop, association féministe de solidarité internationale, alerte sur les dangers de la montée de l’extrême droite en Europe, en particulier pour l’égalité de genre et les droits fondamentaux des femmes et des personnes LGBTQIA+.LIRE LA SUITE
Notre corps, notre santé est un projet de lutte contre les violences gynécologiques et obstétricales (VGO) au Sénégal. Il met en avant un problème épidémique, dont le traitement est émergent mais qui peine à être considéré comme un véritable enjeu de santé publique contributif aux décès maternels et infantils évitables : les violences gynécologiques et obstétricales.LIRE LA SUITE