Equipop

Nos actualités

– Une semaine de plaidoyer pour la planification familiale

Invitée par Equipop et le Partenariat de Ouagadougou, une délégation ouest-africaine s’est rendue à Paris pour plaider en faveur de l’accès pour toutes et tous à la planification familiale. Bâtie autour d’une conférence et de multiples rendez-vous avec les décideurs français, cette initiative a suscité un intérêt manifeste. Les bases sont posées pour que la dynamique en faveur de la planification familiale au sein de la politique de développement française s’accélère.

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– Women Deliver : Equipop salue un plaidoyer inébranlable pour les femmes et les filles

Women Deliver, conférence internationale dédiée aux femmes et aux filles, s’est tenue du 16 au 19 mai à Copenhague. Plus de 5700 acteurs du changements : représentants politiques, avocats, journalistes, chercheurs, entrepreneurs, acteurs de la société civile et jeunes étaient présents afin de faire progresser les droits et la santé sexuels et reproductifs des femmes et des filles à l’horizon 2030.LIRE LA SUITE

MONIQUE CLESCA : UNE PERSONNALITÉ ENGAGÉE POUR LES ADOLESCENTES NIGÉRIENNES

1-DEPUIS COMBIEN DE TEMPS CONNAISSEZ-VOUS EQUIPOP ET AVEZ-VOUS DÉJÀ EU À TRAVAILLER ENSEMBLE PAR LE PASSÉ ?

Je connais Equipop depuis plus de 10 ans. On a travaillé ensemble pour la première fois dans le cadre d’un atelier de plaidoyer qu’Equipop organisait avec 3 ou 4 pays de l’Afrique de l’Ouest où j’étais conseillère régionale en plaidoyer et communication pour les changements de comportements. Le Bureau de l’UNFPA Dakar m’avait alors demandé de travailler sur ces thématiques avec des journalistes, des parlementaires et des responsables d’ONG.

2-VOUS ÊTES AUJOURD’HUI REPRÉSENTANTE RÉSIDENTE DU BUREAU UNFPA NIGER. DANS QUELLES CIRCONSTANCES AVEZ-VOUS EU À COLLABORER AVEC EQUIPOP SUR LA THÉMATIQUE DE LA SANTÉ ET DROITS SEXUELS ET DE LA PROCRÉATION DES ADOLESCENTES ?

Nous avons réalisé ensemble deux travaux. Le premier fut une étude sur les politiques, programmes et opportunités des filles dans le cadre des droits et santé sexuels et reproductifs au Niger. Puis, nous venons de valider une étude approfondie sur les interventions de santé au Niger en direction des adolescentes qui va nous aider avec nos partenaires à orienter la suite du programme national pour lutter contre le cancer du col de l’utérus.

3-PLUS PARTICULIÈREMENT COMMENT A ÉTÉ UTILISÉE L’ÉTUDE « SANTÉ ET DROITS SEXUELS ET DE LA PROCRÉATION DES ADOLESCENTES AU NIGER » ET EN QUOI A-T-ELLE ÉTÉ UTILE ?

Nous l’avons partagée avec différents partenaires de différents secteurs, tant au niveau de la société civile que du gouvernement. Au niveau des recommandations, certaines ont commencées à être mises en œuvre, d’autres l’étaient déjà. C’est une étude vivante qui donne des pistes de travail pour nous, mais aussi pour l’ensemble des partenaires. C’est bien d’avoir un document avec des données que l’on peut utiliser et qui compile ce qui avant était simplement dit.

4-ENVISAGEZ-VOUS DE POURSUIVRE VOTRE COLLABORATION AVEC EQUILIBRES & POPULATIONS?

Oui. Et d’ailleurs, on a parlé de la possibilité de travailler ensemble sur un module de formations dans le cadre du leadership féminin.

5-PLUS LARGEMENT QUE PENSEZ-VOUS DES PARTENARIATS ENTRE AGENCES DES NATIONS UNIES, AUTORITÉS NATIONALES ET ONG ?

Pour moi, c’est essentiel. Ça fait partie de notre stratégie de travail, en particulier à l’UNFPA Niger. Quand on est dans une logique de fragilité, comme c’est le cas du Niger où il y a des problèmes d’accès aux services de base en général et de sécurité, on est obligé de travailler avec la société civile. Elle est assez faible et on doit la renforcer. La société civile travaille de près avec les communautés et c’est très important. C’est comme une extension du bras de l’Etat qui n’arrive pas à couvrir toute la population. Ce partenariat est gagnant-gagnant, indispensable et quasiment incontournable.

– 7ème Conférence Africaine sur la Santé : Alliance Droits et Santé se mobilise pour les adolescentes

Equipop et les Scouts du Niger étaient à Accra, Ghana, du 8 au 12 février derniers pour représenter Alliance Droits et Santé lors de la septième Conférence Africaine sur la Santé et les Droits Sexuels (CASDS).
La CASDS se veut un forum panafricain pour le partage et les discussions autour des droits et de la santé sexuels et reproductifs (DSSR). Cette année, 600 participants – organisations de la société civile (OSC), activistes, médias, partenaires techniques et financiers, et représentants des gouvernements – avaient fait le voyage pour échanger autour des DSSR des adolescentes et de la réalisation du dividende démographique en Afrique subsaharienne.
Voici quatre idées à retenir de cette conférence !

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