Equipop a participé à la 69ème session de la Commission sur le statut des femmes, qui s’est tenue du 10 au 21 mars à l’ONU. Cette année marquait le 30ème anniversaire de l’adoption de la plateforme d’action de Pékin (Pékin+30), une feuille de route pour faire avancer l’égalité de genre et les droits des femmes dans le monde. A cette occasion, et dans un climat de montée du fascisme aux conséquences lourdes sur la teneur des débats, une déclaration politique a été adoptée par les Etats membres à l’ouverture de la commission.LIRE LA SUITE
Les féministes de différents pays ont accumulé des savoirs, des stratégies et des succès dans leurs luttes locales. La solidarité internationale féministe permet d’échanger ces pratiques et de s’en inspirer pour renforcer les combats à l’échelle internationale. Pour faciliter ces partages, Equipop a organisé un voyage d’échanges féministe, à l’occasion du festival Brisons le Silence organisé par notre partenaire Filactions. Il s’inscrit dans le projet Générations féministes : Lyon et sa métropole, territoire d’égalité. Voici le récit de six jours de rencontres et d’inspirations collectives :
Les données sur les violences sexistes et sexuelles (VSS) sont indispensables pour comprendre le phénomène, ses causes, les conséquences, les besoins et les obstacles et ainsi élaborer et mettre en œuvre des politiques efficaces, adaptées et de qualité. LIRE LA SUITE
Des centres d’accueil de survivantes de violences sexistes et sexuelles (VSS) sans lieux d’hébergement au Bénin, une loi de protection et de création de centres sans décret d’application au Burkina Faso, un nouveau gouvernement qui n’a pas de stratégie nationale pour démultiplier les centres de prise en charge holistique des survivantes de VSS, ceux-ci sont les constats des états des lieux réalisés dans le cadre du Canal 3 du projet Féministes en action. LIRE LA SUITE
Dans le cadre du projet Féministes en Action (FEA), le consortium LIGUES composé des Ligues des droits des Femmes Ivoirienne, Béninoise et Nigérienne a réalisé dans chacun des pays un état des lieux des systèmes de collecte de données sur les violences sexistes et sexuelles (VSS) dans l’objectif de comprendre pourquoi il existe si peu d’informations sur ces tragédies. LIRE LA SUITE
La Conférence AFRAVIH est un espace de dialogue essentiel sur le VIH en Afrique francophone. Lors de la 12ème édition à Yaoundé, Equipop a plaidé pour insuffler une perspective féministe indispensable à la lutte contre le VIH et la défense des droits sexuels et reproductifs (DSSR). Nos interventions ont mis en lumière le lien entre l’égalité des genres et une riposte efficace, ainsi que l’importance d’impliquer les femmes, les jeunes et les minorités de genre pour l’effectivité des droits.LIRE LA SUITE
Aujourd’hui, certaines survivantes cherchent à fuir les violences répétées de leur conjoint, des familles de ces derniers et quelquefois même de leur propre famille. Souvent accompagnées d’enfants en bas âge, elles souhaitent quitter ces violences en dépit de leur vulnérabilité, de leurs angoisses, du poids des traditions… afin de cesser d’endurer davantage de sévices, d’humiliations ou d’indifférence. Cependant, ces femmes ont-elles où se réfugier ? Où aller ? De quoi vivent-elles ? Y a t-il quelqu’un·e pour les accueillir, les conseiller ?LIRE LA SUITE
Du 4 au 6 mars 2024 à Cotonou, Equipop a organisé, avec un comité d’expertes, un symposium intitulé « Un espace à nous entre militantisme et recherche : dialoguons sur une approche féministe des DSSR ! ».LIRE LA SUITE
Face au constat alarmant de la recrudescence des violences sexuelles contre les femmes et les filles, le Réseau ouest Africain des jeunes femmes leaders de Guinée (ROAJELF Guinée) a mis en oeuvre le projet “Campagne médiatique multi-acteurs sur le viol sur mineurs” afin de sensibiliser sur l’ampleur de ce phénomène et inciter les autorités à apporter une réponse qui permettrait de protéger les femmes et les filles.
Grace au soutien du projet Féministes en Action, le ROAJELF Guinée a mené des actions ciblées visant à informer, sensibiliser et mobiliser les populations contre le viol sur mineurs.
En Côte d’Ivoire, l’association Stop au Chat Noir a mis en place pendant 16 mois un projet visant à répondre aux besoins des survivantes de violences sexuelles, avec le soutien du fonds Féministes en Action. Créée en 2019, l’association Stop au Chat Noir tire son nom de l’expression ivoirienne « faire chat noir » qui consiste pour certains hommes à s’introduire dans la chambre d’une jeune femme la nuit pendant qu’elle dort pour lui faire subir un acte sexuel. LIRE LA SUITE