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– CP – G7 – Droits des femmes : la France n’a pas totalement rempli le contrat

Communiqué de presse
Biarritz, le 27 aout 2019

Ce G7 était l’occasion pour le président Macron de traduire en actes son annonce de faire de l’égalité femmes-hommes une grande cause mondiale. Plusieurs engagements financiers ont été actés mais les associations féministes du Women 7 (W7) considèrent que le contrat n’est pas totalement rempli. La diplomatie féministe voulue par la France peine à s’incarner dans ce G7 et plusieurs sujets clés sur la question ont été absents des discussions.
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– CP – G7 à Biarritz : Emmanuel Macron propose un sommet « inclusif » sans la société civile

Du 24 au 26 août 2019, la France accueille à Biarritz le sommet du G7. À ce jour, le gouvernement n’est prêt à accorder qu’une dizaine d’accréditations aux ONG, soit la plus faible représentation des organisations de la société civile depuis 2005. Les conditions d’accès de la société civile à la presse pendant le sommet restent floues. Ces restrictions rompent avec une longue tradition d’ouverture à la présence de la société civile lors des sommets du G7.LIRE LA SUITE

– G7 : les associations féministes du Women 7 affichent en grand leurs revendications

Dernière ligne droite avant le Sommet du G7 qui s’ouvrira le 24 août à Biarritz.  La France a annoncé vouloir faire de ce G7 celui de la lutte contre les inégalités, en affichant un axe fort sur les inégalités femmes-hommes. Mais pour les associations féministes du Women 7, à J-16, le compte n’y est pas : les chef·fe·s d’Etats doivent prendre des engagements politiques et financiers plus ambitieux pour les droits des femmes. Afin d’interpeller les décideur·euse·s avant ce rendez-vous stratégique, le W7 lance une grande campagne d’affichage à Paris et à Biarritz pour exiger un G7 réellement féministe. LIRE LA SUITE

– Diplomatie féministe : la priorité présidentielle se traduira-t-elle dans la politique de développement solidaire ?

Au début de l’année 2019, le président de la République a affirmé haut et fort que la France se doterait d’une véritable diplomatie féministe. Cette annonce, Jean-Yves Le Drian l’a d’ailleurs détaillée aux côtés de Marlène Schiappa dans une tribune publiée dans Libération, le 8 mars dernier. Ce faisant, la France rejoint le camp des pays – de la Suède à l’Australie en passant par le Canada – qui placent la lutte contre les inégalités femmes-hommes au cœur de leur approche de politique extérieure. Equipop s’en félicite. C’est un pas très structurant pour l’action de notre pays à l’international. Mais pour que cette volonté politique ait toute la crédibilité qu’elle mérite, il est indispensable qu’elle infuse l’ensemble des politiques et outils de la politique extérieure de la France, à commencer par la future loi d’orientation et de programmation (LOP) relative à la politique de développement solidaire et de lutte contre les inégalités mondiales, qui fixera les orientations pour 2020-2025.LIRE LA SUITE

– 15ème Journée de Tolérance Zéro : événement inédit pour l’abandon des Mutilations Sexuelles Féminines

Le 6 février 2019, le collectif Prévenir & Protéger, qui réunit plusieurs associations dont Equipop, a organisé un évènement inédit pour la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des Mutilations Sexuelles Féminines (MSF) à la Maison de Crowdfunding. Au programme, tables rondes et musée éphémère pour sensibiliser le grand public, les professionnel·le·s et les diasporas à la promotion de l’abandon des MSF.

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– “Droits de l’Homme” : une violence contre les femmes

Samedi 15 décembre 2018, le Collectif Droits Humains pour tou-te-s organisait la troisième édition de son concours d’éloquence à l’Hôtel de Ville de Paris. 150 personnes ont assisté à cet événement, qui fait suite à la journée internationale des droits humains du 10 décembre, et auquel Equipop a activement contribué en tant que membre du Collectif. L’objectif commun : l’abandon de l’expression “droits de l’Homme” au profit de “droits humains”, qui rend plus visibles les femmes, leurs droits et leurs luttes. Au bout de trois ans de campagne, une nette inflexion se fait ressentir dans le discours des pouvoirs publics.  LIRE LA SUITE

– Mettre fin aux MGF : Le Burkina Faso s’engage

Le Burkina Faso a abrité du 22 au 25 octobre, une conférence internationale sur les mutilations génitales féminines, à Ouagadougou. Organisée par l’Union Africaine, sous le leadership de Son Excellence le Président du Faso et en collaboration avec le Programme conjoint de l’UNFPA et de l’UNICEF pour l’élimination des mutilations génitales féminines, cette conférence a accueilli des acteurs·trice·s politiques, des organismes et associations de lutte contre les mutilations génitales féminines venu·e·s de tous les continents. Equipop et ses partenaires du Burkina Faso (SOS/JD) et du Mali (AMSOPT) étaient aussi de la partie. LIRE LA SUITE

– Accompagner le développement d’associations locales : un objectif stratégique réaffirmé

Depuis les années 2000 et le début de ses interventions en Afrique de l’Ouest, Equipop a souhaité inscrire son action en partenariat avec
la société civile locale. En 2013, constatant que participer efficacement au renforcement des acteurs et actrices locaux et qu’appuyer leur action collective nécessitait une approche et des moyens spécifiques, elle a initié aux côtés de partenaires associatifs historiques la création d’un réseau, Alliance Droits et Santé, tout en développant une offre d’accompagnement adaptée aux besoins de ses membres. Cinq ans après, retours sur les acquis et présentation des perspectives.

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