genre

– Des engagements pour protéger les survivantes de violences sexistes et sexuelles !

Des centres d’accueil de survivantes de violences sexistes et sexuelles (VSS) sans lieux d’hébergement au Bénin, une loi de protection et de création de centres sans décret d’application au Burkina Faso, un nouveau gouvernement qui n’a pas de stratégie nationale pour démultiplier les centres de prise en charge holistique des survivantes de VSS, ceux-ci sont les constats des états des lieux réalisés dans le cadre du Canal 3 du projet Féministes en action. LIRE LA SUITE

– Participez à l’événement « Nos futurs féministes » lors du Sommet de l’Avenir 2024

Equipop a le plaisir de vous inviter à participer au side event « Nos futurs féministes », qui se tiendra à New York le 20 septembre 2024 dans le cadre du Sommet de l’Avenir (Summit of the Future). Organisé lors du premier jour des “Action Days”, cet événement mettra en avant les revendications des jeunes et féministes d’Afrique de l’Ouest pour contribuer à l’agenda mondial post-2030. Une occasion unique pour partager des solutions transformatives, et renforcer la participation significative des jeunes dans les processus de décision.

LIRE LA SUITE

– Défense du droit à l’avortement dans l’UE – Equipop soutient “Ma Voix Mon choix !”

Plusieurs grandes organisations féministes européennes ont lancé “Ma Voix Mon Choix”, une initiative citoyenne européenne qui demande à l’Union européenne d’organiser un accès libre, gratuit et sans danger à l’avortement à toutes les personnes souhaitant y recourir en Europe. Dans un contexte où l’extrême droite, historiquement opposée aux droits des femmes et des personnes LGBTQIA+, vient réaliser des scores historiques aux élections européennes, Equipop soutient cette initiative cruciale pour garantir l’accès de tou·te·s à ce droit fondamental, et appelle à ce qu’elle soit signée et partagée par le plus grand nombre.LIRE LA SUITE

Notre corps, notre santé : l’exercice par les femmes de leurs droits à disposer de leur corps

Notre corps, notre santé est un projet de lutte contre les violences gynécologiques et obstétricales (VGO) au Sénégal.  Il met en avant un problème épidémique, dont le traitement est émergent mais qui peine à être considéré comme un véritable enjeu de santé publique contributif aux décès maternels et infantils évitables : les violences gynécologiques et obstétricales.LIRE LA SUITE

– ROAJELF GUINÉE : Informer, sensibiliser et mobiliser face à la recrudescence des viols sur mineurs

Face au constat alarmant de la recrudescence des violences sexuelles contre les femmes et les filles, le Réseau ouest Africain des jeunes femmes leaders de Guinée (ROAJELF Guinée) a mis en oeuvre le projet “Campagne médiatique multi-acteurs sur le viol sur mineurs” afin de sensibiliser sur l’ampleur de ce phénomène et inciter les autorités à apporter une réponse qui permettrait de protéger les femmes et les filles. 

Grace au soutien du projet Féministes en Action, le ROAJELF Guinée a mené des actions ciblées visant à informer, sensibiliser et mobiliser les populations contre le viol sur mineurs. 

LIRE LA SUITE

Lutter contre les violences sexuelles avec Stop au Chat Noir

En Côte d’Ivoire, l’association Stop au Chat Noir a mis en place pendant 16 mois un projet visant à répondre aux besoins des survivantes de violences sexuelles, avec le soutien du fonds Féministes en Action. Créée en 2019, l’association Stop au Chat Noir tire son nom de l’expression ivoirienne « faire chat noir » qui consiste pour certains hommes à s’introduire dans la chambre d’une jeune femme la nuit pendant qu’elle dort pour lui faire subir un acte sexuel.
LIRE LA SUITE

– Walking The Talk

Walking the Talk est un programme en consortium qui veut pousser l’adoption et la mise en œuvre de politiques étrangères féministes et de politiques d’égalité de genre en Allemagne, France, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et dans l’Union européenne. Des politiques étrangères inclusives qui défendent l’égalité de genre et reflètent les voix des femmes et des personnes LGBTIQ+ du Sud.

 

Pour y parvenir, le programme plaide pour une augmentation de l’aide publique au développement (APD) consacrée à l’égalité de genre et aux droits des femmes, en particulier le financement d’organisations féministes progressistes et intersectionnelles dans les pays du Sud.
LIRE LA SUITE