Le 8 mars, le Ministère des Affaires étrangères a dévoilé sa troisième stratégie “genre”. Elle prolonge avec force l’action des deux stratégies précédentes, même si la question des moyens financiers reste d’actualité. Quatre jours plus tard, le discours prononcé par Marlène Schiappa à l’ONU a clairement démontré l’engagement politique de la France en faveur de la promotion de l’égalité femmes-hommes. Retour sur cette semaine charnière.LIRE LA SUITE
Il y a un an jour pour jour, Donald Trump signait la « Règle du bâillon mondial », ou Global Gag Rule conditionnant ainsi l’accès à la totalité de l’aide au développement américaine consacrée à la santé : toute organisation étrangère qui souhaiterait bénéficier d’un financement de l’aide fédérale américaine doit attester qu’elle ne fournit aucun service ou ne mène aucune activité de conseil ou de plaidoyer visant à favoriser l’accès à l’avortement médicalisé et sécurisé, y compris sur des financements non américains.
L’Association Internationale des Maires Francophone (AIMF) et la Ville de Paris ont décidé de s’engager sur les questions de planification familiales en Afrique de l’Ouest. Le projet permet d’accentuer la participation des collectivités territoriales sur les questions de santé de la reproduction des adolescent·e·s et des jeunes.LIRE LA SUITE
Où est l’argent pour les droits sexuels et reproductifs ?
Garantir le droit des femmes à disposer de leur corps, la France doit tenir ses engagements
Chaque année 303 000 femmes décèdent des suites d’un avortement à risque ou d’un accouchement mal accompagné. Cette situation requiert des financements en matière d’information et d’accès à la contraception et à l’avortement. L’aide publique au développement de la France peut, et doit, y contribuer.