Des centres d’accueil de survivantes de violences sexistes et sexuelles (VSS) sans lieux d’hébergement au Bénin, une loi de protection et de création de centres sans décret d’application au Burkina Faso, un nouveau gouvernement qui n’a pas de stratégie nationale pour démultiplier les centres de prise en charge holistique des survivantes de VSS, ceux-ci sont les constats des états des lieux réalisés dans le cadre du Canal 3 du projet Féministes en action. LIRE LA SUITE
Co-édité en 2004 par Fatou Sow sociologue sénégalaise féministe et chercheuse sur les questions de genre notamment en Afrique et Codou Bop, Journaliste, sociologue, chercheure, féministe et militante des droits humains, le livre « Notre corps, notre santé » a marqué des générations de femmes en Afrique subsaharienne en offrant un regard neuf sur leur santé et leur sexualité.
20 ans après, un comité intergénérationnel et pluriel repense cet héritage pour l’adapter aux enjeux d’aujourd’hui. En s’appuyant sur une diversité de voix et d’expériences, ce projet vise à faire évoluer les connaissances et les pratiques en matière de santé sexuelle et reproductive des femmes.LIRE LA SUITE
L’expérience du projet SANSAS illustre la puissance de l’entraide et de la cohésion dans un groupe. Des confidences des jeunes leaders impliqué.e.s émanent une dynamique collective forte, portée par un élan de solidarité mutuelle. « Pour moi, le projet SANSAS c’est la cohésion entre les jeunes, une solidarité qui s’est installée », exprime l’une d’entre elleux.LIRE LA SUITE
Aujourd’hui, certaines survivantes cherchent à fuir les violences répétées de leur conjoint, des familles de ces derniers et quelquefois même de leur propre famille. Souvent accompagnées d’enfants en bas âge, elles souhaitent quitter ces violences en dépit de leur vulnérabilité, de leurs angoisses, du poids des traditions… afin de cesser d’endurer davantage de sévices, d’humiliations ou d’indifférence. Cependant, ces femmes ont-elles où se réfugier ? Où aller ? De quoi vivent-elles ? Y a t-il quelqu’un·e pour les accueillir, les conseiller ?LIRE LA SUITE