genre

– Réaffirmer la place des DSSR dans le nouveau contexte politique français

En mai 2017, avec l’élection présidentielle, le paysage politique français a connu un grand bouleversement. Pour Equipop, l’enjeu de cette année de plaidoyer en France était donc de s’assurer que les thématiques portées par le précédent gouvernement ne disparaissent pas de l’agenda. Equipop a œuvré à deux niveaux : plaidoyer politique vis-à-vis de l’exécutif et, à un niveau plus technique, contribution aux processus institutionnels.

LIRE LA SUITE

– La communication et la culture pour accompagner le changement social

Soutien au théâtre-forum, organisation de débats publics ou de concours d’éloquence, utilisation de la bande-dessinée et de la photographie, promotion des causeries villageoises, production de webdocumentaires ou d’émissions avec les radios communautaires : depuis de nombreuses années, Equipop place la communication pour le développement (C4D) au cœur de son action.

LIRE LA SUITE

– La délégation des tâches : une approche pour répondre aux besoins contraceptifs des femmes burkinabè

330 décès maternels pour 100 000 naissances vivantes : les femmes burkinabè continuent à payer un lourd tribut à la maternité. Dans un contexte d’insuffisance de personnel de santé qualifié pour offrir des services de planification familiale de qualité, le pays est aussi caractérisé par une faible prévalence contraceptive (15%) et un fort taux de besoins non satisfaits (24%)¹. Equipop promeut depuis 2010 la délégation des tâches au Burkina et est impliquée depuis 2 ans dans la mise en œuvre d’un projet pilote dans deux districts du Burkina Faso.

LIRE LA SUITE

– Une Assemblée générale sur le thème des droits des femmes et des filles

L’Assemblée générale d’Equipop fut l’occasion, le 6 novembre dernier, de réunir, d’apprendre et d’échanger autour des sujets centraux de l’action de l’association : les droits sexuels et reproductifs des femmes et des jeunes, en Afrique de l’Ouest. Ce fut aussi l’opportunité d’entamer la création d’une nouvelle campagne de mobilisation contre la pratique de l’excision avec les jeunes pour le 6 février prochain.LIRE LA SUITE

– “Ancrer les droits des femmes au coeur du G7” : retour sur la conférence du 18 octobre

Plus de 130 acteurs et actrices de la société civile et des parlementaires ont assisté à la conférence “Ancrer les droits des femmes au coeur du G7” organisée par Equipop et CARE France à l’Assemblée nationale. Un appel a été lancé pour participer à la campagne Genre/G7 qui vise à faire des droits des femmes un sujet incontournable pour les chef·fe·s d’Etats et de gouvernement à Biarritz en 2019.LIRE LA SUITE

– Mobilisation au Mali et au Burkina pour mettre fin à l’excision et aux mariages précoces

Equipop et son partenaire l’AMSOPT sont engagés, depuis 2010 dans la région de Kayes au Mali, dans une dynamique de promotion de l’abandon durable des mutilations sexuelles féminines (MSF) et du mariage précoce (MP). 2018 voit le démarrage d’une nouvelle étape avec le lancement du projet « Protéger les prochaines générations », qui permet d’étendre l’action à la région de l’Est du Burkina Faso avec l’association SOS Jeunesse et Défis.
LIRE LA SUITE

– Burkina Faso : L’éducation sexuelle complète se matérialise

Du 24 au 27 juillet dernier à Koudougou, les autorités de l’éducation nationale et de l’alphabétisation du Burkina Faso, à travers la Direction Générale de la Recherche en Education et de l’Innovation Pédagogique, ont organisé en partenariat avec Equipop un atelier de formation des enseignant·e·s. Ces derniers·ères vont expérimenter dès les premières années du primaire la réforme des curricula de l’éducation de base portant sur les Mutilations Génitales Féminines (MGF), la Santé Sexuelle et Reproductive (SSR) et le Mariage des Enfants (ME).LIRE LA SUITE

– 100 propositions parlementaires pour une « diplomatie féministe »

Deux députées ont présenté le 4 avril dernier un rapport d’information sur la place des droits des femmes dans la diplomatie française. Celui-ci formule 100 préconisations à destination du gouvernement pour une “diplomatie féministe” et soulève la question des moyens financiers. Parmi les priorités thématiques abordées, les droits et la santé sexuels et reproductifs (DSSR) figurent en bonne place. Ce rapport de qualité devient de fait un document de référence pour le plaidoyer des acteurs et des actrices qui s’engagent sur ces questions.
LIRE LA SUITE