Aujourd’hui, certaines survivantes cherchent à fuir les violences répétées de leur conjoint, des familles de ces derniers et quelquefois même de leur propre famille. Souvent accompagnées d’enfants en bas âge, elles souhaitent quitter ces violences en dépit de leur vulnérabilité, de leurs angoisses, du poids des traditions… afin de cesser d’endurer davantage de sévices, d’humiliations ou d’indifférence. Cependant, ces femmes ont-elles où se réfugier ? Où aller ? De quoi vivent-elles ? Y a t-il quelqu’un·e pour les accueillir, les conseiller ?LIRE LA SUITE